Et parfois, cette histoire devient personnelle.
Au cœur du village, un visage familier est apparu : celui de 3Am Hmed — Hmed Ben Yaala.
Un homme discret, sage, respecté de tous.
Une figure aimée. Un repère.
Il incarnait l’essence même de Djerba :
l’amour de la famille, le respect du travail, la transmission, le sens du collectif.
Quand les habitants ont découvert le mur, ils l’ont reconnu tout de suite.
Les enfants ont posé des questions, les anciens ont raconté.
Et l’œuvre est devenue ce qu’elle doit être : un déclencheur de mémoire, un vecteur de transmission.
Merci @vhils pour cette fresque bouleversante, profondément humaine.
Tu as su capter l’essence d’un homme, et celle d’un territoire.
Ta technique impressionne. Ton regard touche. Ton geste a du sens.
Cette œuvre fait désormais partie de l’histoire du village — et de Djerbahood.

